CHAPELLE NOTRE-DAME-DU-HAUT, Ronchamp

La Chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp a été construite par Le Corbusier en lieu et place d’une ancienne chapelle détruite lors des bombardements de la seconde guerre mondiale.

Le système constructif de la chapelle est constitué de béton armé pour les ouvrages horizontaux de grandes portées, telle que la toiture, mais aussi de maçonnerie enduite de ciment projeté sur treillis métallique, pour certaines structures verticales.

Des pathologies sur les bétons et sur les façades ont conduit à la réalisation d’un diagnostic avec analyse structurelle incluant une analyse des matériaux en laboratoire.

Cette dernière n’a mis en évidence aucune pathologie importante d’origine physico-chimique dans les bétons, au niveau des zones étudiées, hormis le phénomène de carbonatation dont l’ampleur était normale pour des bétons de cet âge. La corrosion des armatures était quant à elle surtout liée à des défauts d’enrobage.

Les autres désordres repérés en façade provenaient principalement de la dilatation thermique des matériaux et probablement à des défauts constructifs des zones maçonnées.

La Chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp a été construite par Le Corbusier en lieu et place d’une ancienne chapelle détruite lors des bombardements de la seconde guerre mondiale.

Le système constructif de la chapelle est constitué de béton armé pour les ouvrages horizontaux de grandes portées, telle que la toiture, mais aussi de maçonnerie enduite de ciment projeté sur treillis métallique, pour certaines structures verticales.

Des pathologies sur les bétons et sur les façades ont conduit à la réalisation d’un diagnostic avec analyse structurelle incluant une analyse des matériaux en laboratoire.

Cette dernière n’a mis en évidence aucune pathologie importante d’origine physico-chimique dans les bétons, au niveau des zones étudiées, hormis le phénomène de carbonatation dont l’ampleur était normale pour des bétons de cet âge. La corrosion des armatures était quant à elle surtout liée à des défauts d’enrobage.

Les autres désordres repérés en façade provenaient principalement de la dilatation thermique des matériaux et probablement à des défauts constructifs des zones maçonnées.

Édifice
Chapelle Notre-Dame-du-Haut
Lieu
Ronchamp (Haute-Saône - 70)
Année de construction
1953 -1955
Protection
Patrimoine Mondial de l’UNESCA - Classé MH
Labélisée Patrimoine du XXème siècle
Architecte mandataire
Régis MARTIN
Architecte en Chef des Monuments Historiques
Maîtrise d'Ouvrage
DRAC Direction Régionale des Affaires Culturelles de Franche Comté
Missions BMI
Diagnostic
Année
2011
Montant des travaux
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